A zašto
ne možeš ipak? Imaš neke tehničke probleme sa svojim kompjuterom?
Postavio sam ključne stranice na kojima se nalazi dotično. Evo ti i prekucano:
On verra que, selon toute apparence, les Croates du Nord et du Sud ont conservé jusqu’aujourd’hui le nom d’un puissant souverain qui, pendant quelques décades, régna sur les Slaves, les Bulgares et autres tribus asservies au Khagan des Avares. L'étymologie iranienne de ce nom d’homme ne prouve rien quant à l’origine du peuple lui-même. Je finirai par une conjecture sur le nom de ces Serbes qu’il me paraît presqu’impossible de séparer des Croates à l’époque étudiée: je veux dire que “Serbes” n’est autre qu’un sobriquet dans le genre de ceux qui ont été donnés parfois, par leurs voisins ou par leurs maîtres, à quelques tribus slaves. D’ailleurs, la polyonymie des Slaves est une sorte de règle ou de loi. Il n’a pas cessé d’être vrai aujourd’hui que Serbes est un autre nom de Croates, puisque la seule définition possible de ces deux termes est, pour Serbes: Croates orthodoxes, et pour Croates: Serbes catholiques. Personne, je l’espère, ne se formalisera si je m’aventure à supposer que l’épithète de Serbes, loin d’évoquer comme le nom de Croates un puissant souverain, un Charlemagne ou un Lothaire de l’Europe Centrale, est un terme péjoratif dans le genre de bifulcus sous lequel les Avares désignaient leurs sujets slaves. Mais n’anticipons point: sur ce point tout au moins, cette synthèse initiale ménagera l’intérêt de curiosité.
Mais revenons au peuple croate et à son “double”, le peuple serbe, aux deux Croaties et aux deux Serbies. On ne dira plus, je l'espère, comme feu Stanojević, que la migration croate n’est attestée que par le Porphyrogénète. Kouver-Kouvrat s’installe au Κεραμήσιος κάμπος, après avoir, évidemment, traversé toute la Serbie. Et les Slaves sont en nombre considérable dans son armée internationale. Ce trek est évidemment celui dont le Porphyrogénète a capté le très lointain écho: c’est proprement le “Dolazak Hrvata”, l’arrivée des Croates. Partout où ce nom de Croate s’est maintenu comme ethnique ou comme toponyme, à Corbetha en Saxe, en Bohême, dans les Carpathes, en Carinthie et ailleurs, il rappelle existence et l'extension de ce regnum Cobrati, “éphémère” peut-être en un sens, mais qui a duré, tout de même, plus longtemps que l'empire de Charlemagne ou celui de Lothaire. Or, la Lotharingie, la Haute et la Basse, et la Lorraine sont à Lothaire ce que la grande Croatie, la Croatie Blanche, les tribus croates du Nord et la Croatie yougoslave sont à Kouvrat. Quant à étymologie du nom des Serbes, le Porphyrogénète n’aurait-il pas raison lorsqu’il pose l'équation Σἐρβ(λ)ος = servus? Ne s’agit-il pas tout simplement d’une épithète péjorative donnée par ses voisins à tout ou Partie du peuple croate, et qui, le sens primitif une fois oublié, aurait été adopté et retenu par des groupes slaves du Nord et du Sud, lorsque les événements politiques les amenerènt à se différencier, plus ou moins profondément, de leurs congénères? L’étymologie du Porphyrogénète a longtemps passé pour puérile et peu scientifique. De nos jours, les linguistes l'ont eue en particulière aversion sous prétexte qu’un v ne saurait, dans le domaine slave, se transformer dans la muette labiale correspondante (b). Mais ce n'est pas de cela qu'il s’agit. Le changement de v en b est un phenomene inter-roman, comme le mot franyais corbeau suffit à le montrer. La forme slave peut n’être qu'un simple emprunt au bas latin.
Anri Gregoar govori o staroj Velikoj Hrvatskoj čiji bi kratkotrajni toponimni ostaci bili Korbeta u Saksoniji, venac Karpati, delovi Češke, Kranjske, itd...i onda je, po njemu, jedan deo hrvatskog naroda bio prozvan od strane svojih suseda po pežorativu, kao neko pogrdno ime. On etnonim „Srbin“ tumači kao izvorno pogrdno ime za Hrvate koji su pali pod tuđi jaram i povlači komparacije dotičnog etnonima sa terminom „bifulk“ koji su koristili Avari za potlačeni slovenski živalj.